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Salut, c'est moi ! Ah...Et je vous emmerde. [Libre]

Sujet: Re: Salut, c'est moi ! Ah...Et je vous emmerde. [Libre]   Lun 27 Juin - 21:32
Persephone
Panthéon Greco-romain
Persephone
Job : architecte paysagiste





I fuck you too

feat. @MAD WALKER




87642519c2edcd2a113e95958e2faaf7.jpgJe le laisse jouir, exprimer son plaisir entre mes lèvres... Plaisir que j'accueille avec une certaine satisfaction. Faire chavirer un être tel que lui n'est pas chose aisée. J'en suis intimement convaincue. Accepter de lâcher prise, de se donner ainsi, dans cet échange où chacun trouve son compte. Dans cette relation gagnant/gagnant où je doute me perdre cette fois-ci. Opposés... où tout devrait nous dresser l'un contre l'autre : notre nature, nos capacités, notre « naissance », les circonstances de notre arrivée à Forgotten... Nos aspirations. Bref. Tout. Et pourtant, je ressens un certain plaisir à me retrouver à ses côtés, contre lui, ne comprenant pas ce qui se passe au juste... Mais est-ce important ? Je sais que la seule présence d'Hadès dans son estomac ne suffit pas à expliquer autant d'énergie. Peut-être était-ce écrit quelque part ? Après tout, certaines prophéties ne sont pas bonnes à jeter. Enfin. Comme il le dirait si bien, le pourquoi n'est pas spécialement important, surtout à l'annonce de ces temps lugubres.

Sur ce, qui suis, je tente de protester, mais sans réelle envie. Me retrouvant la poitrine contre la paroi de la douche, tandis qu'il agrippe mes fesses, en venant à son tour charmer certaines parties de mon anatomie, s'attardant sur mes fesses. Je lâche un gémissement, qui se mêle peu de temps après à cette sensation de douleur et de plaisir, tandis qu'il me préparait à le recevoir à cet endroit... Appréhension, envie, n'étant pas particulièrement fan, n'ayant pas de très bon souvenir des soumissions forcées d'Hadès.... Mais je ne peux me poser davantage la question, alors que sa verge vint remplacer ses doigts, mes cris raisonnent dans les parois de la douche, tandis qu'il me prend avec plus de vigueur, avec toujours cette sensation de douleur et de plaisir, me faisant mouiller davantage à chaque assaut. 

Mon corps se laisse soumettre à ses assauts, tandis que mon esprit est bel et bien ailleurs. Je ne suis qu'un corps, remplit de plaisir, penchant la tête en arrière pour venir y voler ses lèvres dans un baiser langoureux, prenant le temps de mêler ma langue à la sienne... dans cette étreinte décadante... Je bouge les fesses, l'incitant à aller plus vite et plus fort, certainement encouragé par mes cris de plaisir où la douleur ne semble plus être à sa place. Ses grognements ne font que ponctuer cette scène érotique, ne font qu'attiser le désir que je ressens pour lui.



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Sujet: Re: Salut, c'est moi ! Ah...Et je vous emmerde. [Libre]   Lun 27 Juin - 22:27
Mad Walker
Monstre légendaire
Mad Walker
Job : files moi du fric ou je te casse les gnous.
Localisation : Dans ton p'tit cul bien moulé, conasse.
Je ne tarde en rien à la sentir satisfaite de cet échange malgré de légères réticences au départ. Elle semble vouloir refuser mais n’y mets pas vraiment l’énergie nécessaire, ce qui en dit en réalité assez long. Elle à déjà connu, et peu apprécié. Sentiment bien différent que celui offert par ses réactions. Et je peux vous affirmer avec divers arguments que ce n’est sans doutes pas du chiqué. De quoi parfaitement gonfler mon égo, en outre. Et me donner envie de la satisfaire plus encore… Ce à quoi je m’attèlerai sans plus attendre, me penchant en avant pour venir accepter ses lèvres, son baiser, la délicieuse danse de nos langues emmêlées… tandis que mes gestes, eux, se montraient de plus en plus bruts, intenses… L’odeur de son désir grandissant, le fait de sentir son humidité se mêlant à l’eau de la douche, que j’avais rendue plus chaude, comme pour rendre notre échange encore plus intense… appréciant le contact des goutes bien chaudes sur nos chairs emmêlées. Tout ceci, cette petite bulle humide et intense… ne pouvant qu’accentuer mon propre plaisir et de fait, l’ardeur de mes propres assauts contre elle. Je continuerai donc ainsi jusqu’à ce que le plaisir lui fasse perdre pied, en venant me servir de ma prise sur ses seins pour la maintenir debout, pour me glisser farouchement en elle, d’un coup, par sa féminité, cette fois, reprenant ici mes assauts avec autant d’ardeur et de ferveur que ce qu’elle recevait quelques instants plus tôt… la martelant avec désir et envie… dans cette même position qui me permettait de venir toujours me loger bien au fond d’elle, l’impact entre nos chairs se faisant bien entendre entre chaque mouvements. Tout comme nos propres sons, gémissements et cris pour elle et grognements et soupirs pour moi. Si quelqu’un se trouvait dans cette demeure… nul doute qu’il n’en raterait pas une seule petite miette… pour ma plus grande satisfaction. Si les autres peuvent entendre le plaisir que je lui offre, ils ne la convoiteront sans doutes pas. Ce qui me convient.

Je n’aurais donc « changé » d’entrée qu’après l’avoir sentie se resserrer, jouissant sous mes assauts et cette fois n’en fera pas exception… je ne cesserai aucun de mes assauts en elle avant de l’avoir pleinement satisfaite. Et s’il s’avère que comme la veille… la seconde fois arrive plus vite que la première… ce que je sais, naturel… Il est possible que je ne m’en satisfasse pas encore… Non… Si elle jouit encore trop vite pour cette seconde fois… je la retournerai, dos au mur, jambes autour de mes hanches, pour l’empaler brutalement sur ma queue… Et je recommencerai à l’empaler jusqu’à ce qu’elle me crie son plaisir… et qu’elle en vienne à humidifier ma queue à nouveau…
Sujet: Re: Salut, c'est moi ! Ah...Et je vous emmerde. [Libre]   Lun 27 Juin - 22:58
Persephone
Panthéon Greco-romain
Persephone
Job : architecte paysagiste
Il ne cesse de me surprendre, me malmener de cette manière que j'apprécie un peu trop. Se retirant, pour me prendre à nouveau, sans douceur, plongeant profondément dans mon intimité. Je ressens mon sexe se contracter autour de sa queue ; de plus en plus sensible à cet échange passionnel. Insensible à cette eau trop chaude qui caresse ma peau, ou est-ce le contraire, peut-être que mes sens en sont décuplés. Je lui demande de continuer, de garder le rythme, et lui exprime l'intensité de ce que je ressens par mes paroles, histoire peut-être de l'inciter à me malmener davantage. Je finis par le repousser, me retournant pour lui faire face, souhaitant lire dans son regard l'intensité de son plaisir. Lire en lui ce qu'il ressent alors que j'accueille à nouveau sa queue, entourant ses hanches de mes jambes, le dos frottant à la paroi de la douche. Je le sens profondément en moi, tire sur ses cheveux pour basculer sa tête en oreille tandis que je viens mordre le lobe de son oreille, puis mordiller la chair tendre de son cou.... Avant de nouveau rallier mes lèvres aux siennes, lui faisant goûter son propre sang.

C'est ainsi, que je finis par accueillir la jouissance, l'orgasme contre ses lèvres, mon regard se violant sous l'intensité du plaisir. Ne sachant pas s'il était proche ou non, s'il était venu en moi ou non... Ressentant mon palpitant tambouriner ma poitrine, mon corps encore tremblant contre le sien, tandis que la douche terminerait de nettoyer nos ébats.

Deux petits coups à la porte m'informèrent que quelqu'un souhaitait me voir. Sans doute un être de la nature qui pense que ce message est plus important que ce qui est en train de se passer dans la salle de bain. Je reste contre Mad, ne souhaitant pas bouger... Le messager n'incistera pas, ou très peu, laissant sans doute la messive sur le lit de nouveau propre et décent... Un message qui annonçerait une vague idée des perspectives d'avenir, venant ainsi confirmer les propos de mon compagnon.
Sujet: Re: Salut, c'est moi ! Ah...Et je vous emmerde. [Libre]   Mar 28 Juin - 1:20
Mad Walker
Monstre légendaire
Mad Walker
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Localisation : Dans ton p'tit cul bien moulé, conasse.
C'est ainsi que se signifièrent la fin de nos ébats. Alos que l'on frappait à la porte, je continuai juste assez pour jouir en elle, terminant ma suite d'assaut dans de derniers coups assez secs pour être notables... sans cependant la libérer de mon étreinte. Elle ne semble pas vouloir elle même s'en écarter de toutes façon... Cependant, j'aurais marqué cette "interruption" d'un grognement léger. Mentionnant que finalement, j'ai peut être trouvé un petit déjeuner intéressant, le tout sur le ton d'une boutade. Plus tendre, cependant, j’en vins à déposer quelques baisers dans son cou, avant de me laisser plus ou moins retomber en arrière, l’attirant avec moi. Je finirais assis en tailleur, elle sur mes jambes, les mains sur ses hanches alors que je profite simplement de cette proximité et de contact peau contre peau, laissant mes doigts glisser sur elle en acceptant le silence présent comme un présent que je ne saurais refuser. Rester dans une telle position en silence avec quelqu’un démontre bien notre confort à cette notion. La savoir si confortablement installée près de moi n’est rien d’autre qu’un compliment que je serais sot de rejeter. Les choses sont souvent simples et ont en réalité rarement besoin de mots. Ce sont ces mots qui en gachent le plus souvent la beauté. Afin de n’en voir aucun arriver, je viens alors réclamer ses lèvres, sa langue, au bout de la mienne… l’embrassant longuement alors que mes doigts, mes mains, continuent de flatter sa peau, caressant chaque partie d’elle. Et si je ne romps le baiser, ce ne sera que pour pouvoir venir humer son odeur. Si de base déjà elle m’est délicieuse… Je ne l’apprécie que d’autant plus après l’avoir satisfaite. Cette sueur saine, cette faiblesse temporaire, cette fatigue mêlée des diverses enzymes de plaisir… Ce simple calme après l’ardeur. Une ardeur que je lui apprécie particulièrement. Ce n’est qu’après un long moment que j’acceptai de rompre ce contact, principalement motivé par une faim immense. Oui … autant éviter de la dévorer. Je sortirais donc de la pièce, après m’être séché et sommairement habillé, avant de patienter de l’arrivée de ma nourriture. En attendant, j’aurais pris soin de l’observer ouvrir son courrier pour lui demander finalement le contenu de celui-ci.

-J’espère pour ton « gars » qu’il avait de très bonnes raisons de nous couper. Sinon j’en ferais vraiment un sandwich.

Conclus-je après un instant, non sans un léger grognement réprobateur. Ouais, la hierarchie est importante et certaines informations passent priorité, mais non.. je n’en apprécierai pas pour autant de me voir forcer d’écourter un bon moment. Je renifle alors, avisant autour de moi si je peux capter l’odeur de l’être. Oui, j’aurais réussi à la capter, dans la salle d’eau. Quand je veux obtenir quelque chose.. généralement, je le peux. J’aurais même été jusqu’à user d’un de mes pouvoirs pour accentuer mon odorat. Si je te mets la main dessus, mon gars… Tu vas passer un sale quart d’heure. Parole serpentine.
Sujet: Re: Salut, c'est moi ! Ah...Et je vous emmerde. [Libre]   Mar 28 Juin - 18:53
Persephone
Panthéon Greco-romain
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87642519c2edcd2a113e95958e2faaf7.jpgJe le laissais quitter l'enceinte de la douche en premier presque à contre cœur. Me rinçant, prenant encore quelques secondes avant de sortir à mon tour. Cette créature me fait perdre litteralement la tête, et c'est sans doute quelque chose de positif pour une déesse comme moi qui se torture bien trop avec ses pensées. Curieux d'être attirée par un être dont les pensées, ou plutôt les souvenirs lui font défaut, tandis que les miens semblent encore si intenses et si frais à mon esprit. Je pourrais presque les dater, et j'exagère qu'un peu... Préférant parfois ne pas me souvenir de certaines choses. Peut-être que Circé pourrait jouer sur ça. Me retirer certain souvenir pour faire revenir certain des siens. Dans la vie tout est notion d'équilibre... sauf que je doute que cette vieille sorcière accepte de choisir les souvenirs qui m'handicapent... Non, elle serait assez maligne pour que cela soit en ma défaveur, à moins d'ouvrir les yeux, en se rendant compte que je suis plutôt une déesse généreuse.

J'enroulais mon corps dans une serviette en sentant l'énervement chez mon invité. Je séchais mes cheveux, rapidement, les tressant avant de retourner dans la chambre pour attraper la missive déposée sur mon lit. Il y avait encore les empreintes de l'oiseau qui l'avait transporté. Je sais, cela fait un peu blanche neige, et croyez moi, que cette princesse de conte n'a rien en commun avec moi, du moins la version Disney. « Hum évite de manger les êtres qui me font confiance... Va plutôt voir dans le frigo, je suis certaine que quelque chose pourrait t'intéresser maintenant » proposais-je en sortant la lettre de l'enveloppe. Le but n'était pas de lui demander de partir, il pouvait tout aussi bien resté, peu importe... dans tous les cas, je n'avais aucune raison de lui cacher cette information

« Il s'agit de Tyr... apparemment il sort de l'ombre, il s'ajoute sur l'échéquier » J'analysais mes souvenirs, essayant de mettre un visage sur la tête de Tyr... mais je ne l'avais jamais rencontré... de lui je sais juste les rumeurs, qui sont plutôt positives à son sujet. Dieu de la guerre et de la justice, beaucoup plus stable qu'Arès, beaucoup plus digne de confiance. Un être qui n'a pas hésité à sacrifier sa main face à un monstre tel que Fenrir. Le seul point négatif c'est qu'il ne faisait pas parti de mon panthéon... Je ne savais pas si nos intérêts étaient communs... et de quel côté il se rangerait réellement... beaucoup de dieux sont devenus décevants, mais je doute que cela soit le cas de ce guerrier. « Intéressant » pensais-je à voix haute avant de déchiqueter de mes mains le papier.

Je me positionnais ensuite devant un petit bureau, toujours enroulée de ma serviette... en essayant de trouver mes mots. « Que penses-tu de le rencontrer ? Nos intérêts pourraient être... les mêmes... il est important de s'entourer des bonnes personnes, peu importe nos origines... Mais en même temps... Proposer une rencontre annonce la couleur à nos ennemis. Si je suis au courant pour Tyr, d'autres personnes peuvent l'être... des personnes ennemies qui pourraient être informées de notre rencontre... et je n'ai pas envie que cette lettre se perde... [b] « Tyr, dieu du ciel, de la guerre juste, de la justice, de la victoire et de la stratégie... non trop pompeux... marre de mousser tout ces dieux... Hum... Tyr, j'ai appris récemment que tu as réveillé Tiwaz... si c'est de bonne augure, je t'invite à quitter ta montagne pour me rendre visite à Forgotten Hollow... tu seras le bienvenue, traité comme un ami. Perséphone » c'était curieux, cela faisait des siècles que je n'avais pas signé de mon nom.... vraiment, qu'est-ce que je suis en train de faire ? Quel changement depuis quelques heures. « qu'est ce que tu penses de tout cela?

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Sujet: Re: Salut, c'est moi ! Ah...Et je vous emmerde. [Libre]   Mar 28 Juin - 23:25
Mad Walker
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Mad Walker
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Localisation : Dans ton p'tit cul bien moulé, conasse.
Alors qu’elle ouvrait la lettre, je suivais son conseil, me dirigeant rapidement dans la cuisine pour attraper une poignée de burgers à réchauffer. J’emportais alors le micro-ondes dans la chambre, afin de le brancher sur une petite table de chevet non loin. Ainsi, je pourrais profiter de mon repas sans réellement la faire attendre. J’ai bien senti qu’elle était intéressée à en partager le contenu avec moi. Ou bien est-ce moi qui suis curieux de partager avec elle autre chose que nos parties de jambes en l’air endiablés ? Nous avons un but commun après tout, un but me concernant particulièrement, et un autre ou je pourrais lui rendre la pareille. Je m’installe donc non loin, toujours nu, soit dit en passant, alors que je me contente d’enfourner deux burgers dans le micro ondes pour l’activer. Je l’écoute en même temps, mâchonnant un petit bout de viande froide face auquel j’aurais perdu patience. Tyr, hm ? Je la regarde ensuite se diriger vers le petit bureau, avisant ses paroles avec une honnêteté d’abord silencieuse, tandis que mes propres songes semblent tenter d’en prendre la mesure.

-Il est possible qu’il réponde favorablement. C’est un guerrier, un guerrier nordique. J’en connais assez de leur culture pour pouvoir t’affirmer que l’aide d’une déesse l’intéressera. Surtout alors que sa puissance n’est pas encore à son paroxysme. Pour ce que j’ai entendu de lui, il serait du genre à établir de réelles stratégies, ce qui lui aura permis dans certaines contrées de supplanter les croyances offertes à Odin, réputé pour être « le père de tout ». On dit même que sa puissance au combat fait partie des plus grandes de son panthéon. Mais pour ce que j’en sais, il s’est terré dans sa montagne sans réellement se mêler à ce monde depuis plusieurs siècles. Il est donc possible qu’il ai perdu de sa « superbe ».

Je souffle un rire bref, comme si un dieu pouvait l’être ! Enfin, paisible, j’attrape mon premier burger pour mordre allègrement dedans, savourant la recette « xtra sauce » avec un plaisir presque malsain. Enfin de la vraie bouffe ! Je l’ingurgiterais assez vite, d’ailleurs. Attrapant le second tandis que j’en remets deux à cuire, l’avalant à peine plus lentement que le premier.

-Peut être connaîtra t-il un moyen de nous aider à virer ma malédiction. Peut être saura t-il te rendre la pareille, si vous trouvez un accord. Qui ne tente rien n’à rien. Négociez donc entre dieux…. Et ta meilleure solution se trouve sans doutes ailleurs que dans ton panthéon principalement consanguin. Sans vouloir te froisser, tu n’en est que la plus adorable des exceptions…

Conclus-je honnêtement, non sans lui accorder un clin d’œil joueur. Ce n’est qu’après avoir englouti le second duo de burger et relancé le troisième que je repris la parole, songeur.

-Les dieux nordiques sont vaniteux. Surs d’eux et de leur valeur. Mais Tyr est différent. Il est le seul qui soit allé jusqu’à sacrifier de sa chair pour autre chose que des connaissances interdites, mais bien pour protéger les siens d’une menace les dépassant. S’il existe un dieu avec lequel tu pourrais parvenir à négocier quelque chose d’intéressant, c’est bien lui. La seule raison qui fait que je ne sois pas encore allé le voir, c’est qu’il parait qu’il demeure peu friand des êtres dans mon genre depuis ma mésaventure avec sa main. J’aimerais autant éviter de me faire couper la tête à cause d’une vieille rancune inassouvie….

Et hop, une troisième rangée de burger pour bibi.. !
Sujet: Re: Salut, c'est moi ! Ah...Et je vous emmerde. [Libre]   Mer 29 Juin - 22:21
Persephone
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87642519c2edcd2a113e95958e2faaf7.jpgJ'assistais à cette scène un peu loufoque. Lui, entièrement nu, en train de brancher le micro onde dans la chambre, armé de divers hamburgers. Je reste là, en me retenant de rire, la scène était... Particulièrement amusante. Je me mordillais la lèvre pour ne pas éclater de rire, et ainsi pour garder mon sérieux... Car le sujet l'était...  « Alors toi » Lançais-je en levant les yeux au ciel avant d'écouter ce qu'il avait à dire. Je n'étais plus nue pour ma part, ayant choisi d'enfiler une robe rapidement, n'ayant même pas pris le temps d'encore mettre des sous-vêtements. Tout en l'écoutant, je tressais mes cheveux, pesant chacun de ses mots.  « Hum, je suis une déesse, mais je ne fait pas partie de son panthéon Mad. D'ailleurs, il pourrait même se demander si Hadès n'est pas derrière tout cela... Peu de personnes savent que je suis dotée d'un cerveau et c'est sans doute mieux ainsi » Jouer les potiches n'est pas mon fort, par contre jouer avec les apparences, paraître plus faible ou vulnérable que je suis, là je suis douée.

 « Je ne pense pas que Tyr ait pu perdre de sa superbe... Enfin, on ne parle pas de n'importe qui non plus... » répondis-je un poil malicieuse tout en observant sa réaction.  « Mon panthéon consanguin, j'y peux rien s'ils s'enfilent tous, tu sais... Je suis l'une des rares qui ne trouvent pas ça excitant de se faire sauter par son père... Et Zeus a essayé à plusieurs reprises... Ce vieux con » Vieux con queutar, mais il en restait pas moins un être puissant... Enfin s'il était encore là quelque part... Mais, je ne me rabaisserais pas à lui demander de l'aide...je ne serais d'ailleurs pas étonnée qu'il ait rejoint d'une manière ou d'une autre le camp des nouveaux dieux.  « Tu as raison, qui tente rien n'a rien... On verra bien... et comme tu le dis si bien, il s'agit de ma meilleure option actuellement » J'ouvrais ensuite la fenêtre et sifflais pour faire venir un aigle... Grand... Majestueux... Un animal ayant la capacité de voler à des altitudes élevées, pour s'approcher de Tyr et de ses montagnes. Je caressais l'animal, lui embrassant le haut de la tête avant de lui confier la missive... « Apporte cette lettre à Tyr, Dieu de la justice et de la guerre... Ne fais confiance à personne, sauf si cette personne fait partie de ses fidèles... allez va et reviens chercher ta récompense mon ami »{/b] La bête s'inclina avant de partir avec entre ses griffes la lettre.

« Je ne le laisserais pas te couper la tête, ça serait dommage... Un réel gâchis » Lançais-je toujours autant amusée par la scène qu'il renvoyait. « Peut-être que Tyr aura une solution à proposer... pour ton souci... J'ai déjà pensé à quelqu'un... Circé, mais c'est vraiment une sale garce en qui on ne peut pas faire confiance... de plus, je doute qu'elle puisse à elle seule, tout te ramener en mémoire... mais déjà Mad... est-ce que tu veux vraiment te souvenir ? » Lui demandais-je en lui effleurant la joue rapidement « du genre, vraiment … vraiment ? Est-ce que tu veux vraiment ça au fond de toi ? »

Une fois que Tyr aura répondu, il sera toujours temps de convenir d'un lieu... Un lieu neutre, où chacun de nous pourra se sentir en sécurité... un lieu où aucun invité indésirable ne pourra venir.


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Sujet: Re: Salut, c'est moi ! Ah...Et je vous emmerde. [Libre]   Jeu 30 Juin - 0:15
Mad Walker
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Localisation : Dans ton p'tit cul bien moulé, conasse.
Je l’observe alors, captant son amusement sans avoir à particulièrement le chercher. Je vais même jusqu’à céder un petit clin d’œil à son « toi alors ». Oui… Il me fallait bien être présent pour l’écouter. Et avoir de quoi assouvir ma faim en même temps. Cette solution était à la fois la plus pratique et la moins salissante, donc. Et ne dites surtout pas à ma quatrième fournée de burgers que ce ne sont que des excuses bidons… vous risqueriez de les vexer ! Non, dans les faits, bien que je ne mente en rien… Je dois bien admettre m’amuser à tester un peu les limites et la compréhension des êtres en puissance. Et de fait, les siennes aussi. Nous sommes bien différents, et si on va devoir coexister, autant être certain que le fait de déplacer un putain de micro-ondes ne va pas être la source de putain d’embrouilles inutiles. Non car on va pas se mentir… Oui, on à un lien fort, oui, baiser c’est le pied mais … Nos différences n’en disparaissent pas pour autant. De fait, apprécier simplement de la voir s’en amuser me rassure et me comble pour cet instant. Pourquoi combler ? Hé, les femmes, vous êtes pas particulièrement connues et reconnues pour être toujours parfaitement saines d’esprit, vous savez ? Les crises d’hystéries sans queue ni tête, on ne les prêtes que très rarement aux hommes, et c’est sans doutes pas pour rien. Et c’est un taré qui l’affirme. En outre, oui. Je vais devoir partager le clair de mon temps avec elle pendant un moment. Autant me voir comblé de ses qualités. Je capte bien son petit air malicieux, lorsqu’elle parles de Tyr, et ça m’arrache un bref ricanement, me redressant pour m’approcher d’elle.

-Si j’en suis venu à le reconnaître… Je ne vais pas me vexer que tu en fasses autant, tu sais ? Cela dit.. Si c’est une fessée que tu souhaites… il te suffit de la réclamer gentiment.

Marquès-je très doucement à son oreille, non moins mutin, alors que je laisse une main glisser vers sa croupe, effleurer le haut de celles-ci et pour peu qu’elle se redresse un peu, je ne me gênerai en rien à lui accorder une fessée magistrale… Avant de retourner à ma place pour finir mon repas, non moins joueur. A dire vrai, j’aurais tout de même volé ses lippes un instant, avant de repartir, histoire de bien appuyer mes mots…D’ailleurs, est-ce vraiment si surprenant qu’elle approche à son tour, juste après ce petit échange ? J’en doutes… Ce qui est certain, cependant, c’est que je saurais apprécier son contact et sa proximité, même pendant mon repas. Mais ce n’est qu’après avoir avalé une ultime bouchée, prenant le temps de réfléchir, que je relevais une main, venant prendre doucement la sienne pour la serrer un peu.

-Ce que nous sommes est à quatre vingt dix pourcent régi par nos souvenirs et nos expériences. Parfois, je m’emporte car je suis incapable de me souvenir de ce que je viens d’affirmer… Et à d’autres moments, car je ne me souviens même plus d’évènements que je sais pourtant important. Je sais des choses, pense des choses qui sont ancrées en moi à cause ou grâce à mes expériences de vie. Grâce à mes erreurs et mes réussites. Que valent-ces choses si je ne suis même pas foutu de les expliquer ? Suis-je réellement « moi », ou juste une pâle copie tentant de mener une existence pitoyable ? Oui. Je veux me souvenir. Et me venger de ceux qui m’ont handicapé de la sorte. Car au nom d’une fierté que je ne saurais même plus expliquer, la colère et la haine me bouffent l’âme. Et on ne parles même pas de cette foutue malchance de merde.

Inutile de ramener à vos mémoire l’épisode de la douche ou du camion, tous deux survenus la veille… Mon regard sera en tout cas resté planté dans le sien. Sincère. Lui faisant bien comprendre que je ferais tout ce qui peut être en mon pouvoir pour me débarrasser de cette putain de malédiction de merde.
Sujet: Re: Salut, c'est moi ! Ah...Et je vous emmerde. [Libre]   Jeu 30 Juin - 20:47
Persephone
Panthéon Greco-romain
Persephone
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Une fessée ? Non Persée, reste bien sage. Tu ne peux pas passer tout ton temps à sautiller sur sa queue ? Ce n'est pas très professionnel. Il est vrai que cela m'aiderait qu'il porte autre chose que cette tenue d'Adam. Il faut vraiment que j'apprenne à contrôler mes pulsions. On a fait que baiser depuis notre rencontre, il serait peut-être temps de passer à autre chose. Discuter ? Chercher des solutions, non ? Ça permettrait d'avancer un peu plus.  « Je suis une enfant sage, on ne fesse pas les petites filles sages » Lançais-je avant de recevoir la fessée tant attendue. Oui attendue, mon corps aura parlé pour moi, sans doute. Pendant qu'il attaque à nouveau sa... Je ne sais combien fournée, j'attrape une culotte dans mon tiroir pour l'enfiler... histoire de glisser une barrière supplémentaire entre nous. J'essayais de me chasser la sensation de son souffle contre mon oreille, sa voix chaude et suave, sa main malmenant mon fessier, sans compter tous le reste.

Je m'approchais ensuite de lui, instinctivement, m'asseyant même sur ses genoux. Oui, je sais, je viens de penser qu'il vallait mieux que je garde mes distances pour mieux réfléchir. Que voulez-vous ? Ainsi va la vie, et vous noterez que je ne fais rien de répréhensible, mis à part de mimer croquer un bout de l'un de ses hamburgers, malicieuse avant de le laisser s'engouffrer le reste. 

« Ne t'inquiète pas, tu vas finir par retrouver tes souvenirs. Laisse moi juste le temps de trouver la solution la plus adaptée. C'est quelque chose de délicat... Le cerveau, les connaissances... les souvenirs. Si Tyr ne répond pas, ou s'il n'est d'aucune aide, je contacterais une sorcière... celle dont je te parlais tout à l'heure... et si ce n'est pas cette garce, ça sera quelqu'un d'autre. A chaque problème il y a des solutions... et peut-être que d'ici là, j'aurais retrouvé assez de capacité pour m'occuper de ça moi même... mais j'y pense... Les moires » pensais-je à voix haute. Les moires pouvaient très bien nous aider, accéder à certaines brides de souvenirs... Il n'y avait aucune raison à ce qu'elles refusent... ou en tout cas, à ce qu'elles nous orientent pas vers la meilleure personne. »[/b]

« Je prendrais note de chaque parole que tu me dis... Je serais ton cerveau, pour te rappeler tes moments de « lucidité » » Proposais-je en faisant des guillemets avec mes doigts. « Pour l'heure, il faut que je te laisse, j'ai quelques contrats à honorer...Je reviens dans quelques heures » dis-je en prenant mon téléphone pour répondre aux messages professionnels « Qu'est-ce que tu penses faire pendant ce temps là ? »
Sujet: Re: Salut, c'est moi ! Ah...Et je vous emmerde. [Libre]   Ven 1 Juil - 2:17
Mad Walker
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Job : files moi du fric ou je te casse les gnous.
Localisation : Dans ton p'tit cul bien moulé, conasse.
Contrairement à ce que vous pouvez penser, la nouveauté passant, mes instincts ne sont pas forcément si différent des votres. La voir en tenue attrayante pourrra m’attirer, mais je peux aussi me montrer rassasié. Un rire bref m’aura échappé face à sa remarque sur les « petites filles sages ». d’autant plus lorsque son corps semble, lui, décidé à trahir ses mots. Oui, nous avons principalement baisés, mais je ne m’en plaindrai pas, bien au contraire. Nous verrons simplement quand l’un de nous aura de nouveau… certains appétits. Sans doutes dans pas si longtemps. Je la laisse croquer dans ma nourriture, amusé… bien qu’elle ne s’en tire en rien sans une nouvelle petite fessée, culotte ou non… J’irais même jusqu’à la taquiner en laissant glisser un peu sa culotte avant la dite fessée. Juste assez pour pouvoir la déposer sur sa peau directement, avant de replacer le vêtement, non sans avoir laisser ma main glisser sur elle au passage. J’accepte aussi ses mots concernant ma mémoire, et la totalité de ses réflexions sur le sujet. Touché, quelque part. Assez pour venir, en gage de réponse, voler ses lèvres dans un baiser aussi langoureux que doux. Rares sont les personnes ayant cherché à tant obtenir mes faveurs. Et comment ne pas l’apprécier ? Et voilà qu’elle me chasse maintenant. Les obligations d’une vie active… et je l’accepte sans rechigner. J’apprécie autant mes moments de solitude, d’autant plus que j’y suis parfaitement habitué et qu’ils me sont tout aussi utile qu’on pourrait l’espérer. J’en viens donc à me redresser, enfilant un simple pantalon, sans même prendre la peine d’attraper un sous vêtement, et je me dirige alors vers la sortie, lui répondant enfin avec des mots :

-Je vais tâcher de contacter une vieille connaissance. Si on est chanceux, elle pourrait se montrer utile dans ce que tu prépares.

Sans plus d’infos, je me dirige alors vers la sortie. Le fait que je me sois dirigé vers cette ville n’est pas un pur hasard, en réalité. J’avais bien quelques idées derrière la tête. J’ai eu l’occasion de rencontrer un jour un certain « Arthur ». Je viens de m’en souvenir. Il m’a dit qu’il serait disposé à essayer de m’aider, et que cette information me reviendrait sans doutes lorsqu’elle me sera utile. Foutues énigme. Reste cependant que l’information vient bel et bien de me revenir. A forgotten Hollow, pénétrer dans n’importe quelle putain d’église et demander à parler au chef de l’Ordo Luminis. Il est temps de vérifier si cette piste pourra nous être d’une quelconque putain d’utilité. Et que ce connard boiteux soit aussi important qu’il ne le pense. J’aurais donc trouvé la voie vers une église, et demandé à le voir. On m’aura alors simplement dit qu’il saurait ou me trouver. Foutues énigmes, encore. De là, je soupire et m’exfiltre de ce trou à rats, toujours aussi peu vêtu, pour me rendre à un endroit ou je pourrais picoler et avaler quelque chose d’un peu plus consistant que des burgers commerciaux. Oui, en Amérique, ils sont gros, mais quand même. Ce n’est donc que dix pintes de bières (1L/pinte, donc, une VRAIE pinte) et six sandwichs plus tard que je rentrais, juste joyeux, bien que légèrement titubant… et rassasié. Une pouffiasse m’aura fait de l’œil, sur place. Mais je n’aurais pas donné suite. Préférant encore prendre la déesse partageant son lit avec moi qu’elle, pour l’affaire. Et c’est dans cet esprit que je finirais par me laisser retomber sur le canapé m’ayant accueilli la veille. J’ai bien compris que lorsqu’elle aurait fini, on lui signalerait sans doutes mon retour. Le fait est que j’ai fini par m’endormir… voyez-vous. Il faut dire que la digestion, surtout doublée de l’excellente partie de jambe en l’air qui l’a précédée à de quoi apaiser mes besoins animaux. Et une fois ces besoins conquis, le repos ne tarde jamais à montrer le bout de son nez. Bon, d’accord.. Le houblon aide pas mal aussi. Même si j’ai une grande résistance aux poisons, celui-ci n’en est en rien. Et il est assez compétent dans son genre… Pour ce qui est de l’aide au sommeil. Elle finira donc sans doutes par me trouver là, vautré sur son canapé, mon haleine dissimulant que très peu mes « frasques », si tant est qu’on puisse le voir ainsi. J’aurais laissé entendre un peu avant de m’assoupir, de lui transmettre qu’elle peut me réveiller en arrivant. Pourquoi me priver de sa compagnie, tant présente que nocturne, après tout ?
Sujet: Re: Salut, c'est moi ! Ah...Et je vous emmerde. [Libre]   Sam 2 Juil - 21:43
Persephone
Panthéon Greco-romain
Persephone
Job : architecte paysagiste
Une vieille connaissance ? Hum, il ne semblait pas vouloir m'en dire plus, et je respectais son choix. Cela me concernait en rien, enfin pour le moment, sauf si la connaissance en question pouvait s'avérer utile, j'imagine. Il s'éloigne en premier, quittant la maison, et je pense que je le suis pour régler plusieurs affaires urgentes. Enfin urgentes. Je suis architecte paysagiste, pas chirurgien, ou autre métier primordial. Mes clients sont riches, et je n'aime pas les faire attendre, appréciant de voir mon compte se renflouer lorsqu'un travail est bien fait. Je bouge beaucoup, passe ma journée au téléphone, en essayant de ne pas être trop obnubilée par l'être que je venais de rencontrer... Déplorant de ne pas avoir un moyen de le contacter. Avait-il un téléphone ? Je n'en savais rien... et de toute manière, ce moyen n'est pas le plus sécurisé à cause de ces gros connards de nouveaux dieux. J'en avais un, mais que pour mes petites affaires de 'fausse humaine', et j'imagine que cela fait bien longtemps qu'ils ont arrêté de surveiller... mes conversations sont d'un ennui mortel quand on en a rien à foutre de la nature et de ses bienfaits.
C'était vexant certes, mais j'avais également conscience que c'était plutôt avantageux. On ne me verra pas venir, pensant que je suis une déesse sans cervelle qui se contente du peu qu'on lui laisse. N'ont-ils pas, enfin surtout Dieu, créé cette fête de Pâques, cette fête qui fait écho à ma propre essence, me permettant d'être plus en « forme » que certains autres dieux ? Vous savez ce cadeau à la con qui fait qu'on pense que la personne vous sera redevable à vie. Alors que je n'en avais rien à faire des cloches, de la résurrection du Christ et encore moins de ces lapins en chocolat. Que des conneries... Mais ces conneries avaient le mérite de m'avoir fait garder certains de mes pouvoirs. 

Je rentre assez tard, étant passé dans un restaurant avant de rentrer. Un sac de bouffe pour moi, et six sacs de bouffes pour Mad. C'est ainsi que je le retrouve, complètement... Anéantie, exterminée, dans le canapé... Son haleine ne laissait aucun doute sur ce qu'il avait ingurgité. Je soupirais, levant les yeux au ciel... Non mais sérieux, qu'est-ce qui me prend de m'enticher d'une créature pareille... il n'est pas mon style... et pourtant, je suis toujours appelée à lui... Le destin se fiche de mes goûts en matière d'hommes apparemment. 

Je poussais ses jambes, sans trop le ménager, plus amusée qu'agacée.. Il me fait peut-être un peu trop penser à un autre dieu... un dieu que je considère comme un frère... « Hey la belle au bois dormant... Tu as faim ? » demandais-je en le voyant ouvrir un œil pour s'assurer que c'était bien moi ? Non, je pense qu'il a ressenti lorsque je suis entrée dans la pièce, il pourrait même dessiner mon énergie les yeux fermés. « Bon appétit » dis-je en déposant les différents sacs sur la table basse, avant de sortir mon wrap de légumes de son emballage. « J'espère que c'est suffisant... Je ne sais pas trop quelles sont les quantités qu'il te fait... » Je retirais mes escarpins, déposant mes jambes sur le canapé à mon tour... me créant une petite place, contre lui. « alors ta journée ? » question large... et c'était fait exprès
Sujet: Re: Salut, c'est moi ! Ah...Et je vous emmerde. [Libre]   Sam 2 Juil - 22:18
Mad Walker
Monstre légendaire
Mad Walker
Job : files moi du fric ou je te casse les gnous.
Localisation : Dans ton p'tit cul bien moulé, conasse.
J’ai en réalité ouvert un œil à l’instant ou elle à pénétré la pièce. Elle n’aura sans doutes pas fait attention, à ce moment là, mais c’est un œil reptilien, qui l’aura accueillie. A dire vrai, je n’y aurais pas réellement fait attention moi-même, retombant dans l’Affre de mes songes en constatant qu’il ne s’agissait pas d’une menace. Enfin, je dis ça mais ça ne l’auras pas empêchée de me dégager partiellement du canapé, juste assez pour pouvoir se faire une petite place contre moi, après avoir déposé les divers sacs sur la petite table. Un sourire amusé m’aura alors traversé tandis que je l’accueilles en l’attirant un peu contre moi, reniflant légèrement, avant de déposer un petit baiser sur une de ses tempes, doucement. Appréciant d’y sentir battre son cœur alors que mes lèvres y sont simplement posées. Oui. Ça se croquerait bien. Je prends alors un instant avant de lui répondre, le temps d’attraper quelque chose a grignoter pour tasser un peu le départ de gueule de bois qui m’aura saisi. J’en profite pour venir enrouler ma main libre autour d’elle, lui offrant ainsi une meilleure position, ma main se perdant en douces caresses allant de son flanc à l’un de ses seins, dans une douceur simple et honnête.

-Chiante. On m’a fait savoir que cette vieille connaissance nous contacterait en temps et en heures. Un allié potentiel. Si tu vois un grand type étrange, aidé d’une canne malgré un âge apparent assez jeune… Ne le chasse pas trop vite. Autant écouter ce qu’il aura à dire. Pour le reste… j’ai picolé, mangé et … pas baisé. J’ai bien mieux ici… pour ça.

Conclus-je, mutin, cessant mes caresses un instant pour empoigner le dit-sein, joueur… avant de reprendre, comme si rien était, en même temps que mes caresses

-Et toi, ta journée à été ? Des affaires urgentes, disais-tu ? Rien de trop grave, j’espère, hm ? Si un problème se présente… hésite pas à me le faire entendre. Au moins que je te rendes la pareille d’une quelconque façon ici… Hormis dévaliser ton frigo et détruire une douche.. je n’ai pas été d’une très grande utilité jusque là.

En attendant, c’est mieux que rien, vous me direz. Certains penseront que je la paie en nature, mais je n’aime pas tant cette idée. Quoi que. Y’a pas de perte de dignité en soi, encore moins pour sii peu, si je puis dire. Si c’est là satisfaisant pour elle, je ne m’en plaindrai pas. Reste que j’ai bien envie de la protéger en soi. Alors autant le faire, si je le peux. Pour ce qui est de la quantité de nourriture, ayant bien mangé avant, j’aurais l’avantage d’avoir du rab plus tard, en cas de petit creux. C’est pas plus mal, en soi. Sur le reste, oui.. je la garderais contre moi avec un plaisir sincère à son contact. Sans chercher à la repousser, à la refuser… à rien de ce genre. Non. Je profite simplement du moment présent, et d’apprécier la sentir un peu échauffée près de moi. Ce n’est pas moi qui vais vous rabâcher des histoires de gouts en matière de femme, et de sentimentalisme de ce genre. Dans le fond, je l’apprécie, malgré le fait qu’elle bouffe pas de viande. Qu’est-ce que vous voulez que ça puisse me faire, hm ? Ses manières la rendent au contraire assez élégante, en plus de son apparence. Et ça me plait aussi. C’est très bien comme ça, non ? Pourquoi chercher à faire tout un pataques tant qu’on est simplement bien avec la personne qui est à côté de nous ? L’amour est une putain de connerie ayant été inventée par les humains pour justifier l’enfantement, car ils sont trop cons pour perpetuer leur espèce sans une raison du genre. Alors… Ouais, pourquoi chercher plus loin là ou y’a pas de réponses ? N’est-ce pas un amour beaucoup plus sain, concrètement, que de simplement apprécier sans juger ou se questionner inutilement ?
Sujet: Re: Salut, c'est moi ! Ah...Et je vous emmerde. [Libre]   Dim 3 Juil - 17:43
Persephone
Panthéon Greco-romain
Persephone
Job : architecte paysagiste
Je me glisse, m'impose un peu, me collant à lui, le délogeant un peu de son fief. Amusée. Presque attendrie au contact de ses lèvres sur ma tempe. Étonnée de cette douceur. Il enroule son bras autour de moi, maintenant sa prise, trouvant cette position assez confortable. Sa main de libre me caresse, mais sans aucune avidité, une douceur simple, pendant que je suis en train de manger, appréciant sans doute juste la magie du moment présent. Curieux duo que nous formons. Tous les deux, dans un canapé, en plein milieu de mon salon, en train de manger de la malbouffe. Je libère l'une de mes mains pour venir la glisser sous son tee-shirt pour caresser son torse tout en l'écoutant. « Un grand type, jeune, avec une canne qui pourrait potentiellement nous aider, tu parles de Pendragon » Je levais la tête, cherchant la réponse dans son regard. Évidemment que je connaissais, du moins de nom, de réputation cet homme. Il ne m'était jamais donné l'occasion de le rencontrer, mais je connaissais sa description... Et je savais aussi qu'il me connaissait, qu'il savait où je vivais, et cela depuis des décennies maintenant. Chacun connaissant la présence de l'autre, respectant son « territoire »... et le mien se résume à cette maison et au grand terrain verdoyant qui l'entoure... Rien de plus, une entente silencieuse... vu que... contrairement à certains de mes comparses, j'étais plutôt civilisée... et pas un danger pour ses enfants de cœur. « Tu penses vraiment qu'il voudrait nous aider... Hum... à voir, mais promis, je serais gentille, adorable, un ange... je ferais aucune remarque sur son enfoiré de Dieu en culotte courte » Dis-je en riant à ses paroles suivantes « C'est pour ça que tu es en mode régime ce soir... par contre, je ne sais pas comment tu fais pour tenir encore debout avec tout ce que tu as bu, tu parfumes mon salon... je suis même certaine d'avoir de l'alcool dans le sang à respirer juste à côté de toi » glissais-je taquine en pinçant rapidement son téton. « et faux, tu as baisé ce matin » ajoutais-je en le pinçant un peu plus fort avant de m'écarter un peu, mutine, joueuse.

« Oh rien de spécial... Le travail, des rendez-vous que je ne pouvais pas reporter... et il est important que je continue d'agir normalement... Je ne pense pas que des dieux, ou autres enfoirés perdent leurs temps à me surveiller... mais il vaut mieux être prudent... ta présence ici a déjà dû faire un peu de grabuge... Le principal c'est qu'il pense qu'on baise uniquement... ce n'est pas étonnant qu'une déesse greco romaine se fasse sauter par le premier venu... Il faut que je fasse honneur à mes origines » j'esquissais un sourire, « Tu sais, pour cela, pour le travail, j'en fais mon affaire, mais pour le reste, j'aurais besoin de toi... si Tyr accepte, j'espère que tu seras là, pas très loin... Même si comme tu dis, ta présence sera peut-être pas la bienvenue... mais je doute qu'il vienne seul... et d'une autre part, je m'en fou un peu de son avis te concernant »

Je me levais du canapé, m'étirant, détachant mon chignon bien trop protocolaire « Dis moi, qu'est-ce que tu veux faire ? Qu'est-ce que tu fais d'habitude de tes soirées ? Vu que tu as déjà bien entamé cette journée. »
Sujet: Re: Salut, c'est moi ! Ah...Et je vous emmerde. [Libre]   Mar 5 Juil - 19:14
Mad Walker
Monstre légendaire
Mad Walker
Job : files moi du fric ou je te casse les gnous.
Localisation : Dans ton p'tit cul bien moulé, conasse.
Pas étonnant qu’elle reconnaisse la description donnée, c’est elle la locale. Moi je suis que l’étranger. Je lui laisse le soin d’envoyer sa main ou elle le désire, ayant été le premier à accepter cette proximité, la refuser maintenant serait une sorte de non sens idiot. Ainsi, je l’écoute. Mon attention rapidement entièrement reportée sur elle et ses paroles. Lorsqu’elle me demande si je pense qu’il voudra nous aider, j’hausse. S’il m’a fait cette proposition un jour, c’est qu’il devait avoir une idée derrière la tête. En outre, on verra bien ce qu’il proposera, s’il montre le bout de son nez. Ce n’est ni une certitude, ni un état de fait… Ainsi… Nous verrons bien, j’imagine. Estimant mon haussement d’épaules comme une réponse suffisante, elle s’en contentera sans doutes, tandis que sans sembler s’en froisser, elle continue simplement ce qu’elle me disait. Là, en revanche, quelque chose me fait tiller. Certes, ses tournures sont assez amusantes pour m’arracher un sourire, mais je viendrais tout de même y glisser quelques mots moi-même.

-Tu n’auras pas à l’être. Aucune aide ne me sera réellement bénéfique si elle doit te mettre une muselière. Et aucun abruti n’aura ma confiance s’il doit simplement te juger sur ton panthéon d’origine. Je me cognes de tous ces détails stupides. Sois toi-même. Celle que je vois n’aura aucun mal à obtenir l’aide qu’il lui faudra. En outre, Perse, si tu désire que je sois là quand il ramènera sa tignasse, je serais là. Et s’il m’emmerde… Je l’emmerderais aussi. Je n’ai pas spécialement envie d’une muselière non plus, de toute façon.

Conclus-je, amusé, sans avoir réellement conscience de la portée de mon "compliment", mes mots ayan simplement été honnêtes, avant de laisser glisser ma main sous son haut, venant doucement chercher le contact d’un de ses seins, l’empoignant sans la pincer trop fort, en réponse à ses petites attaques…avant d’ajouter, mutin.

-Pour le reste… oui. Ce matin. Pas cet après midi comme je l’aurais pu…. Car je savais qu’une déesse m’attendait et sur ce point là…. Je serais bien cruel de diminuer mes chances de te satisfaire toi, tu ne crois pas ? Après… si tu préfères que j’ailles voir ailleurs…

Mon ton était bon enfant, vu comme elle me «piquait » à la simple mention de cette possibilité, aucun doute que cette petite « pique » allait faire mouche. C’est d’ailleurs non moins joueur que j’approche mes lèvres pour lui voler les siennes, ensuite. Juste lorsqu’elle allait réagir, un sourire torve au coin des lèvres, avant de répondre à sa dernière question… comme pour mêler le plaisir de l’embêter à l’utile explication menant l’idée que oui, j’aime finir de parler. Comme tout le monde après tout, non ?

-A cette heure… je commencerais par chercher ou je passerais ma nuit. Cette question semble réglée… Ensuite, je chercherais de quoi ne pas avoir faim au cours de la nuit… Cette question aussi est réglée. De quoi assouvir d’autres besoin à l’envie… c’est bon aussi…

Je marque un silence songeur, ricanant doucement, mon regard ayant été appuyé sur elle sur la fin de ma phrase…

-et toi ? Une envie particulière à l’esprit, vu que mes besoins sommaires semblent tous assouvis et réglés ?


Sujet: Re: Salut, c'est moi ! Ah...Et je vous emmerde. [Libre]   Mar 19 Juil - 21:28
Persephone
Panthéon Greco-romain
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Je ne sais pas vraiment si on pouvait faire confiance à ce Pendragon. On ne peut pas dire qu'il porte les personnes de mon espèce dans son cœur. Je ne lui cause pas de problème, il ne m'en provoque pas, accord tacite, silencieux sans même devoir échanger une poignée de main. Je sais qu'il me surveille, qu'il me garde à l’œil et cela ne me dérange guère puisque je n'ai rien à me reprocher. Je ne fais rien de mal, je me contente à supporter cette vie qu'on m'a imposé, loin de ma prestance d'avant... Quoi que... En vérité, cette situation me permet de briller seule, loin de l'imposant Hadès, me donnant ainsi l'occasion de me faire un nom, et ainsi sortir de l'ombre. Briller uniquement en tant que Perséphone et non en tant qu'épouse DE ou fille DE. Ce qui est un véritable exploit pour une femme de mon panthéon. Vous ne trouvez pas ? Il est grand temps de retourner la situation, et au passage si cela me permet de donner un coup de pied au cul à ce connard de Lucifer, ce n'est que du bonus. Il aurait dû m'abattre, au lieu de s'en prendre à Hadès... Ah non, c'est vrai, c'est mon amant qui a bouffé mon ex mari... Mais pourquoi ? Est-ce que Lucifer aurait un lien avec le grand rouquin qui occupe mon salon ? Hum. C'est une possibilité intéressante, mais alors pourquoi le priver de ses capacités mnésiques... Pourquoi le damner ainsi ? Est-ce une punition ? Est-ce une manière de lui offrir une meilleure destinée loin de cette guerre ? Curieux. Il me manque trop d'information pour développer cette hypothèse. Pourquoi Lucifer se serait embêté d'une créature ? C'est plutôt le dada de Dracula ?

J'esquissais un sourire en coin en réaction à ses propos suivants. « Mad, est-ce une déclaration d'amour ? » demandais-je en essayant de cacher mon amusement. Je ne pensais pas qu'il allait me répondre ce genre de chose. Je veux dire, il fait plutôt brute épaisse, animal non domestiqué, du coup je ne pensais pas du tout qu'il penserait à m'exprimer ce genre de propos. « Je pense que Tyr est assez intelligent pour ne pas agir ainsi... après je peux me tromper, mais bon dans tous les cas il s'agit de notre meilleure option, et il serait stupide de refuser notre aide » Dans un monde où on a besoin d'allié plus que jamais, ce n'était pas vraiment le moment pour jouer les difficiles.

« Tu sais, tu peux chercher, trouver tes plaisirs où tu veux. Je ne suis pas là pour te tenir en laisse Mad...Même si j'apprécie l'intention, que tu te réserves pour moi » Je laissais mes doigts se balader sur sa peau, prenant plaisir à ce simple contact, presque naturel.

« J'ai très envie d'un massage, ou de profiter d'un bain de minuit, je ne sais pas trop... J'hésite, mon cœur balance... et en même temps, je suis tellement bien dans ce foutue canapé... presque impossible de m'y déloger » répondis-je avec un sourire mi paresseux, mi amusé au coin des lèvres « La paresse est un péché très agréable »
Sujet: Re: Salut, c'est moi ! Ah...Et je vous emmerde. [Libre]   Dim 24 Juil - 18:10
Mad Walker
Monstre légendaire
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Localisation : Dans ton p'tit cul bien moulé, conasse.
Amour ? Absolument pas. Je pourrais vous développer pourquoi cette pensée ici, mais pour une fois, ce sera sans doutes plus amusant de le faire de vive voix, je ne vais donc pas me gêner, non sans un ricanement aussi grassouillet qu’honnête comme première réponse. D’ailleurs, ne me regardez pas avant autant de surprise. Il en va de même pour la gentillesse, la méchanceté et toutes ces putains de niaiseries que les humains se créaient pour jouer les connards bien pensants.

-Rien d’aussi stupide, désolé de te décevoir. Non… l’amour n’est qu’une création purement humaine, ou stupide, les deux sans doutes, pour pousser deux êtres à s’accoupler ou justifier des actes démesurés. Dire que je ne te désire pas serait un mensonge. Dire que je je n’apprécie pas ta compagnie serait un mensonge. Dire que je n’ai pas plus pris mon pied avec toi qu’avec une très grande majorité des humaines que j’ai baisées aussi. Mais de là a parler d’amour… Non. Ces raisons font que je préfère cent fois assouvir tes envies, car tu es celle qui assouvit le mieux les miennes propres. Qui plus est, on est vraisemblablement partis pour faire équipe, alors autant en profiter pleinement. Je suis désolé, si c’est du sentimentalisme que tu cherches, avec des voies pavées de roses… tu n’as pas la mauvaise créature dans les bras. Tu devrais chercher un vampire, par exemple, ces connards aiment à manipuler les femmes avec ce genre de saloperies.

Conclus-je, volontairement mutin alors que oui, cette pique était très clairement volontaire. Oui, une pique. Je sais qu’elle n’est pas stupide, et je sais que si elle se met à apprécier ma compagnie, c’est pour ce qu’elle à en face d’elle, et non dans l’espoir d’une image édulcorée à la con. Ce qui est déjà très rares, de nos jours. En outre, je ne me questionne pas réellement sur le pourquoi du comment, je me contente de répondre honnêtement, et de la taquiner à mon tour à la suite de sa propre pique, équilibrant ainsi le tableau de notre échange.

-Pour ce qui est de Tyr, je sais que leur mythologie les mène, dans leur croyance et le Ragnarök qui les tuera tous, à affronter des créatures puissantes. Pas surprenant qu’ils ne les apprécient que peu. Surtout que ce n’est même pas lui qui aura la chance de tuer celle qui l’a estropié. Ironie injuste, pour un dieu de Justice. Je doute cependant qu’il jette son dévolu sur le premier venu, moi aussi.

Sa phrase suivante...je n’y réponds pas plus. Après tout, j’y ai déjà répondu. Simple histoire de croisements d’idées. Peut être essaie t-elle de me rassurer ou d’étendre mes horizons. Je souffle alors un rire bref, avec une pensée, mais je la garde pour l’instant, écoutant sa tirade avec intérêt. Ce n’est qu’après un moment de reflexion que je lance alors.

-Si cette paresse vient de ma présence sur ce même canapé, l’idée de t’accompagner dans un bain de minuit ne me déplaît pas. Et puis qui sait, après le bain, je répondrais peut être à ton autre souhait. Mais je prends note de ton envie de me laisser mes libertés. Peut être que la prochaine fois je nous ramènerai un « en-cas » avec lequel jouer tous les deux, ainsi… cela devrait permettre de couper le gigot en deux.


Mutin, je m’imagine bien ramener une femme à l’occasion, histoire de la soumettre à nos envies mutuelles. Ce sera sans doutes plus attrayant que d’en profiter de mon côté seul. Tout en lui démontrant que je respecte sa vision des choses, s’il n’y à que ça pour lui faire plaisir. Enfin, nous verrons bien. Ce n’est pas non plus la question la plus intéressante de ce qui pourrait suivre. Je me contente alors de l’observer. Il ne me reste plus qu’à voir si elle parviendra à se tirer de cette paresse suite à ma réponse… Même si rester ainsi ne me déplairait pas non plus. Bien qu’elle pourrait finir, assez vite, par perdre quelques couches de vêtements quoi qu’il arrive...
Sujet: Re: Salut, c'est moi ! Ah...Et je vous emmerde. [Libre]   Lun 25 Juil - 20:31
Persephone
Panthéon Greco-romain
Persephone
Job : architecte paysagiste
Je ne m'attendais pas à une réponse aussi sérieuse. Je gardais le silence, le laissant terminer, esquissant un sourire énigmatique. « Mad » Pensait-il vraiment que j'attendais ce genre de sentiment de sa part ? Voir même de quelqu'un ? Je ne suis pas un être qui se laisse berner par l'amour. Je ne suis jamais tombée amoureuse, ce genre de sentiment n'est pas de ceux que je recherche. Je n'y crois pas, et je suis presque certaine qu'Aphrodite n'y croit pas non plus. « Tu te doutes bien que je disais ça comme ça » Je plongeais mon regard dans le sien, me retenant de rire cette fois « Je ne suis pas humaine, j'ai plusieurs siècles au compteur, et honnêtement je n'y crois pas une seule seconde. L'amour n'est pas si pur que ça. Je ne suis pas capable d'aimer... enfin si, la nature, les petites créatures qui sont à mon service, mais je doute que cela soit véritablement l'amour, en tout cas pas au sens humain du terme » Quelle discussion sérieuse pour quelqu'un qui n'arrive pas à décoller du canapé. « et les roses, je les préfère sur un rosier, et non au sol ou dans un vase » Ajoutais-je en m'étirant comme un chat, redonnant une certaine mobilité à mon corps comme pour me préparer à me remettre en action.

« Nous devrions bientôt avoir un retour... Nous verrons bien... Je pense que cette rencontre ne peut qu'être positive dans tous les cas »

Je me glissais enfin hors du canapé, attirée par cette idée de bain de minuit « Un peu de détente pourrait... me... nous faire du bien... » Le ciel étoilé éclairé la terrasse, et c'était amplement suffisant pour se laisser guider par cette piscine presque naturelle. Le point d'eau existait déjà avant la création de cette maison. La piscine était entourée par la végétation, une fontaine était construite à son extrémité, faisant raisonner la plénitude du coulis de l'eau... rompant le silence de cette nuit déjà entamée.

« Hum... Je ne préfère pas que tu ramènes des inconnus ici... » Ce n'était pas un non, c'était une possibilité, mais j'aimais décider de qui pouvait venir ici... ou pas... bien qu'une humaine ne serait pas un danger pour lui, comme pour moi, j'aimais garder une certaine tranquillité... Par contre, dans un autre lieu, qu'ici, pourquoi pas.

Je l'invitais à me suivre à l'extérieur, le précédent, faisant glisser ma robe, tout en marchant vers la piscine, laissant mes poumons se remplir de cet air si frais, appréciant le contact de la nature, puis le contact de l'eau avec ma peau... fermant les yeux, dans un gémissement sonore...
Sujet: Re: Salut, c'est moi ! Ah...Et je vous emmerde. [Libre]   Mar 26 Juil - 20:02
Mad Walker
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Localisation : Dans ton p'tit cul bien moulé, conasse.
Non, je m’attendais à ce retour de sa part. Je lui ai simplement exprimé de façon mutine mais honnête le fond de ma pensée. Je gage que j’ai du la prendre de court, mais recevoir sa propre vision en retour ne m’a pas déplu. Je ne vais pas chouiner en avançant un sentiment stupide de ne pas être compris, alors qu’il semble clair que nos façons de penser sur la question sont en réalité assez proches. Nous avons un lien, quel qu’il soit, et nous décidons de l’alimenter comme on le souhaite, car nous y gagnons tous les deux assez de positif pour que ce soit intéressant. Les choses sont bien plus simples et efficaces ainsi. Alors autant profiter simplement de ce qui se présente à nous, et voir jusqu’où ces échanges iront. Pour une fois que la chance me sourit un peu, pour changer… Je vais pas me plaindre non plus. De plus, je ne peux que la comprendre. Lorsqu’on est forcé à vivre quelque chose, le revivre ne fait pas partie des détails les plus attrayants. L’esprit à un pouvoir atroce, sur le corps et lui même. Par exemple, lorsqu’on fait une indigestion assez prononcée, ou une intoxication alimentaire a cause d’un plat, il arrive régulièrement que l’on en soit dégoûté pour un bon moment. J’imagine que c’est un peu ce qu’elle ressent envers l’amour. Et je ne l’en blâmerait pas, encore moins avec ma propre vision de la chose. J’hoche alors finalement et simplement à la longue suite de tirade, avant de me redresser à sa suite, dans une longue série de craquement sonores, mon corps se rebellant comme il peut face à ces mouvements non désirés, avant de se rendre à l’évidence que cela ne m’arrêterait en rien, au contraire. Je prends alors la direction donnée par la dame, avant de me retrouver dehors à ses côtés, et de profiter de la délicieuse vue qui me sera offerte, mon regard se régalant de ses courbes sans s’en cacher. Presque de quoi éveiller à nouveau mes appétits. Je l’accompagne donc dans le geste, me rendant nu moi même alors que j’apprécie au moins autant que la déesse à mes côtés le contact de l’air et de cette eau fraîche, en arrivant à recouvrir mon corps alors que cette fois, je lui emboîte simplement le pas.

-Je ne le ferais pas, alors. Pas ici, en tout cas.

Je ne peux que comprendre le désir de garder sa propre grotte isolée du reste du monde. Je ne suis pas forcément par nature une créature sociable. Je n’ai souvent pas le choix, surtout en ce monde, mais oui, je ne peux que l’apprécier. Savoir qu’elle souhaite garder ce lieu pur de visites non désirées démontre aussi qu’elle ne rapportera personne par surprise, sauf si c’est absolument nécessaire ce qui n’est pas non plus pour me déplaire. Sans en venir à lâcher un gémissement quelconque, je n’en apprécie pas moins l’idée d’être au moins partiellement immergé, l’eau faisant ressortir mes nombreuses cicatrices, sous la lueur fine de la lune qui nous observe en seul témoin. Enfin si tant est qu’une saloperie de divinité lunaire n’ai pas la capacité de nous voir, elle aussi. De quoi m’amuser à imaginer prendre Perséphone sous ce regard médusé et envieux. Sans doutes jaloux, de voir un simple monstre poser ses doigts sur un tel être. C’est un léger grondement amusé qui se fera alors entendre. Mon regard finira lui aussi par se tourner vers Perse, allant m’adosser paisiblement à un rebord de la piscine, sachant apprécier l’aspect naturel de celle-ci. Cette fois, en revanche, je ne détournerai pas le regard, appréciant simplement ce qui se trouve devant moi, paisible. Me demandant, sans doutes, en mon for intérieur, quand et comment tout ceci me sera arraché. Car c’est là tout ce qui à défini mon existence, finalement. Arracher aux autres, et perdre ce que je possédais. A commencer par mes souvenirs, et avec eux, la majorité de ma force. Comment connaître l’étendue de ma force, ou de ce qui la compose, si ma mémoire elle même l’oublie ? Je vais donc en profiter pleinement. Et autant que possible, avant que tout ne me soit encore arraché. Autant pour, au travers et avec elle. Dans l’espoir qu’elle aussi, en garde un bon souvenir, quelle que soit la fin de cette aventure. Autant éviter de détruire, pour une fois. Si je le peux. Mais c’est rarement aussi simple, pas vrai ?

-Tu es vraiment belle, Perse. L’envie de te croquer pourrait bien finir par me traverser l’esprit.

Mon visage est joueur, mais mon ton, lui, pourra sans doutes témoigné d’une partie de la crainte qui me traverse au même moment. Et si cette envie me prenait vraiment ? Suis-je vraiment forcé de tout détruire ?
Sujet: Re: Salut, c'est moi ! Ah...Et je vous emmerde. [Libre]   Dim 31 Juil - 19:09
Persephone
Panthéon Greco-romain
Persephone
Job : architecte paysagiste
Rassurée, qu'il soit sur la même longueur d'onde que moi. J'ai appris à être de plus en plus méfiante avec le temps, n'accordant pas ma confiance facilement. Mad n'était qu'une exception à cette règle. Et on savait maintenant pourquoi je m'étais rapprochée de lui, intriguée par tout ce qu'il dégageait, par tout ce qu'il représentait, sa quête faisant écho à mes propres désirs. Je savais que notre « relation » était éphémère. Rien ne dure dans le temps, même lorsqu'on est immortel... Et peut-être même, que c'est d'autant plus vrai lorsqu'on vit éternellement. Curieux sans doute. J'apprécie le spectacle de sa peau, de ses cicatrices mises en avant par les rayons de la lune. Entièrement nu, l'eau protégeant sa nudité, ou du moins une partie puisque les rayons de la lune semblent vouloir satisfaire ma curiosité. Je reste là, me contente de l'observer pour le moment. Je ne me rappelle pas d'avoir accueilli un homme dans cet endroit presque paradisiaque. J'étais bien trop solitaire pour lancer ce genre d'invitation à n'importe qui, à croire que même les ermites sont plus sociables que moi. « Mais je suis toujours partante pour jouer... surtout en ta compagnie... Jusqu'au jour où nous serons lassés l'un de l'autre » ajoutais-je en souriant en coin. Je doutais pour le moment que ce jour arrive... bien que cela finirait par arriver. On s'était déjà lassé de moi par le passé, je m'étais lassée de cette situation de reine piégée... Vivre dans l'ombre de quelqu'un, ce n'est pas vraiment très glorifiant... surtout que celle qui prenait les décisions les plus cruciales, c'était moi... Mais j'étais contrainte de me taire, et de laisser mon époux s'accorder tous les mérites. Je ne devrais plus perdre de temps à penser à lui, il n'était plus, depuis longtemps maintenant, tandis que j'étais bien vivante.

Je fis quelques mouvements pour me rapprocher du grand roux, m'approchant de lui, me mettant presque à sa hauteur. « Ne t'inquiète pas pour moi... Nous verrons, il est inutile de se projeter dans un futur si désagréable » répondis-je en lui caressant la joue, lisant l'inquiétude dans son regard. « Il serait dommage de me croquer de cette manière, alors qu'il y a tant de manière agréable de me dévorer, de me prendre... si tu me manges, je ne pourrais plus faire tout cela... comme caresser ton sexe ainsi, sous l'eau, ou me coller à toi » J'accompagnais mes mots de gestes, me voulant séductrice, allant déposer mes lèvres dans le creux de son cou pour le détendre. J'étais consciente du danger qu'il pouvait représenter, et pourtant cela ne faisait que rendre cette situation encore plus excitante. « même si je pense avoir meilleur goût qu'Hadès » Je continuais de l'embrasser, frottant ma poitrine contre son torse. Est-ce ainsi que je pourrais finir ? Dévorée par celui qui me saute ? Triste fin... Il fallait que je veille à ce que ses appétits soient satisfaits... même si, enfin j'imagine, qu'il pouvait très bien s'attaquer à moi sans avoir réellement faim. « tu as déjà perdu le contrôle ? As-tu déjà mangé quelqu'un sans le vouloir ? Et si oui, comment ça s'est passé » Je lui mordillais la lèvre inférieure joueuse, avant de lui laisser un peu d'espace pour qu'il puisse me répondre... Histoire de noter dans un coin de mon esprit les signes annonciateurs.
Sujet: Re: Salut, c'est moi ! Ah...Et je vous emmerde. [Libre]   Lun 1 Aoû - 2:17
Mad Walker
Monstre légendaire
Mad Walker
Job : files moi du fric ou je te casse les gnous.
Localisation : Dans ton p'tit cul bien moulé, conasse.
Quelle importance ? Peu importe le temps que nous allons passer ensemble, contentons nous donc de le passer, et puis voilà. Mon expérience m’a appris que c’est le plus souvent aux moments ou on fait tout pour protéger quelque chose qu’on finit en général par le briser. Alors que lorsqu’on fait simplement les choses naturellement… les choses vont. C’est comme transporter un verre rempli à ras bord. Si vous avez un équilibre correct, en avançant naturellement, vous ne renverserez que très peu, voir même rien, parfois. Alors qu’en y faisant attention et en marchant à petits pas, vous débordez, car vous brisez justement votre équilibre naturel. C’est tordu, hein ? Mais cruellement juste. Ainsi, je préfère essayer de chasser ces questions de mon esprit pour en apprécier simplement et pleinement sa présence, sans me faire prier quant au plaisir que je peux y prendre. Oui, moi aussi je doute de me lasser d’elle. Alors qu’elle s’approche, son contact suffit à m’exciter, éveillant à nouveau les appétits que j’aurais repoussé plus tôt, ma verge venant durcir sans mal entre ses doigts. Je suis à l’aise dans l’eau. Sans doutes trop, et ce sentiment ne pourra qu’aider. Dans un milieu m’apaisant, avec une femme me régalant.. Oui. Comment pourrais-je simplement m’en lasser ? Elle se colles alors à moi, fermant la possibilité que je puisse moi aussi glisser une main entre ses cuisses pour le moment, je me laisses donc paisiblement acculer contre le rebord du bain nous occupant, laissant à ses doigts le soin de s’occuper de moi, alors que je savoure au moins autant encore le contact de sa poitrine contre mon buste. Ses tétons, durcis par l’excitation pressés contre ma chair meurtrie, grattant avec envie contre les cicatrices qui doivent accentuer ses sensations de part leur aspect chaotique. Je peux aussi sentir sa féminité assez proche de ma propre virilité, simplement séparés par sa main jouant avec moi… Mon regard dans le sien trahissant sans mal mon désir de la dévorer, oui… entière et crue. De dévorer tout ce qui la définit en tant que femme, que personne. De prendre tout ce qui est elle en plantant cette même virilité non seulement entre ses cuisses, mais aussi au creux de ses fesses… La prendre assez fort pour que tout le voisinage puisse l’entendre hurler mon nom. Prendre sa dignité, sa prestance, sa beauté, son corps… La recouvrir de ma semence jusqu’à ce qu’elle en finisse engrossée si il le faut. Et même là, la prendre encore et encore. Jusqu’à ce qu’elle ai des difficultés à marcher alors qu’elle se présentera face au dieu qu’elle à invité à sa rencontre. Rien que pour pouvoir leur faire entendre et constater le plaisir que j’ai à posséder le droit de partager mon temps avec elle. Un grognement satisfait m’échappe à cette idée. Un sourire qui pourra sans doutes sembler carnassier…. Alors que sa question me ramènera à la réalité, me poussant à réfléchir quelques instants avant que je ne répondes simplement…

-J’en sais rien. Ta chance me porte chance sur l’aspect physique de ma propre malchance… mais pas sur ma mémoire, visiblement.

Mon ton est las, honnête. Quelque part, ça m’a refroidi, surtout car je déteste cette situation. Le fait d’oublier ainsi des choses pourtant importantes…. Mais je ne l’en blâmes pas. Je comprends l’intérêt de sa question. Et si cela m’a refroidi moralement, il semble clair que mon corps, lui… semble toujours aussi envieux de la goûter à nouveau. Je chasserai donc tout aussi vite ce sentiment. Je vais l’oublier, de toute façon, et ce jusqu’à venir doucement inverser nos positions, venant me presser assez contre elle pour la repousser lentement jusqu’à l’autre rive, si je puis dire. Pressant mon buste contre sa poitrine alors que mes lèvres viennent chercher les siennes, ma langue s’y mêlant longuement… très longuement, alors que je glisse lentement mes doigts contre sa nuque, son cou, sa gorge… descendant vers ses seins que je viendrais empoigner fermement, titillant ses tétons de mes pouces, non moins longuement… la pressant juste assez pour ne pas que ça lui fasse mal, jouant avec sans dissimuler mon désir. Mais je ne vais pas plus loin. Je ne suis pas du genre à me soumettre… mais ici, je lui laisse la main. C’est elle qui à lancé le jeu, après tout. Autant respecter ça. Je peux bien faire une exception pour elle, après tout. Le contraste entre l’eau, plus fraîche et son corps bien chaud me régalant en plusieurs aspects….
Sujet: Re: Salut, c'est moi ! Ah...Et je vous emmerde. [Libre]   Lun 1 Aoû - 21:32
Persephone
Panthéon Greco-romain
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Job : architecte paysagiste
Je ne peux pas rester trop loin de lui, cet endroit invitant aux délices, aux plaisirs de la vie. Ma poitrine se frotte à la sienne, et ce simple contact me fait réagir, mes tétons durcis par l'excitation de sentir son érection dans la paume de ma main. Je pourrais redessiner ses cicatrices avec ma bouche, ma langue, les parcourant jusqu'au cœur de sa virilité, sans négliger aucune partie de son anatomie. La conversation était sans doute sérieuse, trop sérieuse mais nécessaire. Ce n'est pas pour autant que j'ai le cœur de rompre le contact, comme si je soufflais le chaud par mes gestes, et le froid par mes paroles. Mon regard ne pouvait que faire écho avec le sien, me laissant envahir par le tourment de différentes sensations aussi agréables les unes que les autres. Je me mordillais la lèvre sensuellement, aguicheuse, tout en l'écoutant attentivement... Buvant presque ses mots, alors que je me retenais de lui sauter dessus pour le moment, envieuse de sentir son gland se frotter contre mon intimité, quelques secondes avant qu'il me prenne, me possède profondément, mêlant ses gémissements aux miens.

J'approche ensuite mes lèvres de sa nuque, m'amusant à l'embrasser, avant d'aller sucer langoureusement le lobe de son oreille, puis le mordiller, dans un jeu de plus en plus dangereux. M'amusant à jouer avec ses sens, torturant les miens par la même occasion. « Ce n'est qu'une question de temps, je te promets qu'on trouvera une solution, je ne te laisserais pas comme ça » dis-je en passant ma main derrière sa nuque, plongeant mon regard dans le sien pour qu'il puisse juger par lui même de ma sincérité avant de venir sceller mes lèvres aux siennes, doucement, puis me voulant plus sensuelle... alors qu'il me repoussa lentement, jusqu'à l'autre rive pour échanger nos positions. Je le laisse me caresser ainsi, ce corps qu'il commençait sans doute à connaître par cœur... ce corps qui réagissait telles les cordes d'un instrument de musique, sentant son sexe dur si proche de mon intimité... alors que ma main ne vient pas, cette fois-ci rompre le contact... Au contraire, c'est ma jambe, ma cuisse qui vient enlacer sa taille pour sentir son désir palpiter si proche du mien... Mais pour l'instant je ne force rien, appréciant chaque contact, goûtant sa peau à nouveau avec envie, comme si j'étais capable moi aussi de le dévorer, bougeant instinctivement le bassin, l'excitation prenant le dessus sur nos belles paroles.

L'eau de la piscine, uniquement perturbée par nos corps qui se languissent l'un de l'autre, un endroit où personne ne pourrait venir nous déranger, offrant à ce sanctuaire sans doute encore plus de charme. Mes mains vinrent caresser ensuite son torse, son dos, s'attardant sur la fermeté de ses fesses, les pinçant rapidement, avant, de finir par guider sa verge en moi pour répondre à notre appétit mutuel.
Sujet: Re: Salut, c'est moi ! Ah...Et je vous emmerde. [Libre]   Mer 3 Aoû - 3:08
Mad Walker
Monstre légendaire
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Localisation : Dans ton p'tit cul bien moulé, conasse.
Oui… elle joue avec le feu. Ses lèvres parcourant mon corps, ses doigts parcourant mon corps...Son souffle éveillant le mien… Mon regard aura pris un aspect plus bestial, serpentin, plus d’une fois… un œil d’un rouge profond, comme le sang. Le sang dont je me gorge à chaque fois que je manges un être. Un creux résonne d’ailleurs dans mon estomac. J’ai toujours aimé mangé pendant le sexe. Mon instinct me le dit, même si je ne me souviens plus de ce qui peut m’amener à le croire. Mon cœur accélère, autant face au plaisir que m’inspire l’idée de la gouter que face à la crainte que ça se produise réellement… alors… oui, je prends la main. Je prends la main de façon à parvenir à noyer toutes ces pensées, toutes ces envies… en tout cas, les plus dangereuses de celles-ci. Mais même ainsi, elle continue de me taquiner, de me chercher, de provoquer mon désir pourtant déjà si dur contre sa féminité si délicieusement humide. Si un jour on m’aurait dit que je puisse être capable d’éveiller de tels appétits chez une déesse. Moi qui ai surtout été craint et évité… J’aurais sans doutes ri assez fort pour me faire entendre par toute cette foutue, ville. Avant d’en arracher nombre d’âmes et… de corps. Au moment ou ses lèvres reviendront contre les miennes, un soulagement clair me traversera. Oui… J’ai envie de la goûter, encore. Même si je l’ai déjà prise et goûtée de bien des façons, je ne penses effectivement pas être prêt à me laisser de son goût. Et lorsqu’elle glissera ma verge en elle, je glisserai moi même mes mains sous ses délicieuses fesses pour les empoigner si fermement que je lui en arracherais sans doutes un son, ne serais-ce que de surprise. Et c’est ainsi, donc, que me glissai à nouveau très volontiers en elle, venant me lover au plus profond de ses chairs si prêtes à m’accueillir, tandis que mes lèvres continuent à goûter les siennes, ma langue aussi… la pressant contre le rebord de cet espace, appréciant les sensations offertes par la situation. J’apprécie l’eau… j’apprécie la prendre sous l’eau. Je suis dans mon élément, quelque part. Je le sais, je le sens. Et elle ne fait que rendre ces sensations plus délicieuses encore. Peut être est-ce ça d’ailleurs qui éveille mes instincts au point de vraiment vouloir la dévorer. Mais il est vrai que ça serait dommage. J’ai le sentiment que je la regretterais… alors autant éviter. Peu en importe les raisons, je n’ai pas besoin de ça. Ses mots résonneront dans mon esprit, jusqu’à ce que mon cerveau accepte réellement de les entendre, et c’est sans doutes pour cette raison, alors que je la presse entre mon corps et le mur, ma verge revenant taper au creux de sa féminité… que je lui glisse doucement…

-J’espère simplement que tu ne haïra pas ce que tu apprendras… ce jour là. Ce que tu découvriras. Ce que tu ramèneras en ce monde. J’ai le sentiment que je préférerai te dévorer à te perdre.

Ce n’était pas une déclaration. Simplement ce que je pouvais ressentir. De l’attachement ? Oui, sans doutes. Mais les formes d’attachement sont nombreuses. C’était là sans doutes un compliment autant qu’une menace bien qu’en mon fort intérieur, et de façon palpable à mon ton et mon regard, elle ne pourrai pas y lire une menace. J’espère que ça ne l’inquiétera pas inutilement. Ce n’était pas le but de mes mots. Pour les prononcer, en tout cas, j’avais rompu le baiser, et j’en profitais alors pour planter mon regard dans le sien. Un regard serpentin et d’un rouge sanguin, mais là encore… rien de menaçant. Simple aperçu de ce qu’elle souhaitait lâcher à nouveau en ce monde… Je n’ai pas prévu de toute façon de la laisser réfléchir pour l’instant, mes hanches continuant de venir marteler ses chairs intimes de façon toujours plus dures… délicieusement dures et honnêtes… ce n’est qu’après un instant que je revins chercher ses lèvres, malaxant joyeusement ses fesses sous mes mains massives, la soulevant parfois un peu pour revenir l’empaler plus brutalement sur moi, laissant l’eau faire son œuvre entre nous… ses seins presqu’écrasés contre mon buste.. ses tétons continuant à frotter contre mes cicatrices… oui… je ne m’en lasserai pas. C’est une certitude.
Sujet: Re: Salut, c'est moi ! Ah...Et je vous emmerde. [Libre]   Sam 6 Aoû - 23:09
Persephone
Panthéon Greco-romain
Persephone
Job : architecte paysagiste
Je suis presque effrayée par le déferlement de toutes ces émotions. C'est la première fois de mon existence que je me sens aussi dépendante d'un être. Ce n'est pas confortable pour moi, cela fait des siècles que j'apprécie ma solitude, et me voilà quémandé sa présence, mon corps appelant le sien, dans un appel plus puissant qu'un simple désir sexuel. Je ne couche généralement pas avec la même personne plusieurs fois de suite. Me contentant des histoires sans lendemain, sans but, prenant simplement mon plaisir avant de disparaître. Et me voilà, avec cet être dont je ne connaissais pas le nom véritable, cet être qui m'observait de son regard reptilien, ses prunelles qui me faisaient frissonner d'effroi malgré moi, alors qu'il m'agrippait par les fesses pour me prendre encore plus profondément encore, me faisant lâcher un cri de plaisir et de surprise. Il était une bête, un animal, il ne me l'avait jamais caché... une bête perdue, qui souhaite récupérer ses souvenirs, et pendant un instant, je pris peur de cette chose que je souhaitais libérer de ses entraves. Une peur qui passe rapidement alors que j'accepte de mieux en plus, et de plus en plus profondément le ballet de ses va et viens. Il semble si à l'aise dans l'eau, me donnant l'impression que l'eau vibrait à sa manière à chacun de ses mouvements. Je picore, caresse ses lèvres des miennes, la poitrine complètement plaquée contre son torse, lui murmurant d'y aller encore plus et encore plus vite... est-ce avant ses paroles ? Est-ce après ? Je ne sais même plus. Est-ce vraiment important ? J'en doute. Lui seul sait me donner autant de plaisir, comme si mon sexe avait été créé pour le sien, comme si mon âme, mon énergie demandait uniquement d'être unie à la sienne.

« Tu ne me perdras pas » Promesse que j'étais en capacité de tenir. J'avais de nombreux défaut, mais pas celui-ci... et lorsque je fais une promesse j'aime la tenir... bien que s'il choisissait de me dévorer... Je serais également toujours avec lui, d'une autre manière. « si tu me manges, tu pourras dire adieu à tout ça » murmurais-je entre deux assauts, venant lui mordre la lèvre à sang, plaquant mes mains dans son dos afin d'accompagner au mieux ses mouvements. « tu me rends complètement folle »
Sujet: Re: Salut, c'est moi ! Ah...Et je vous emmerde. [Libre]   
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